L’équilibre entre surveillance et liberté
Entre 2015 et 2023, la police et la gendarmerie françaises ont utilisé un logiciel nommé Briefcam pour analyser des images de vidéosurveillance, notamment par la reconnaissance faciale. Mais, depuis quelques mois, un problème important a été découvert : cette utilisation n’était pas autorisée par la loi. En France, les outils de vidéosurveillance sont autorisés, mais…