S’informer pour mieux comprendre le monde, par les élèves de l’école Simon Bolivar A

• À l’époque mon grand-père regardait la télévision et lisait le journal pour s’informer.
• C’est vrai, la télé était en noir et blanc. Il n’y avait que 3 chaînes et souvent elle fonctionnait mal. Ceux qui n’avaient pas les moyens écoutaient la radio.
• Il y avait 2 journaux télévisés par jour. Ma mère a connu la télévision couleur avec la télécommande.
• Mes grands-parents, eux, préféraient lire les journaux et les magazines. Mon papy lisait tous les jours Le Monde et L’Équipe et ma mamie adorait le Canard Enchaîné et Jours de France.
• D’ailleurs, aujourd’hui, la plupart de ces journaux existent encore.
• On a étudié l’article d’Emile Zola « J’accuse » sur l’Affaire Dreyfus publié dans le journal l’Aurore qui a cessé de paraître.
• Oui, j’ai remarqué qu'aujourd’hui on lit de moins en moins de journaux papier au détriment du numérique.
• Tu as raison, les gens s’informent surtout en regardant la télévision.
• Il y a une multitude de chaînes d’informations en continu comme BFM TV, France Info ou France 24.
• C’est toujours bien de s’informer sur ce qu’il se passe en France et dans le monde.
• Il faut toujours vérifier les informations que l’on nous donne.
• Les informations sont parfois traitées différemment selon les pays. Par exemple, on a parlé partout du tsunami, des attentats, de la chute du pont de Gênes, de la victoire des Bleus en coupe du monde de football. Par contre, le décès de Johnny Halliday a été médiatisé dans très peu de pays.
• Chez nous, on a la chance d’avoir accès à tous les médias contrairement à beaucoup de pays qui subissent des dictatures. La liberté de la presse et des médias doit toujours être protégée.