L’école pour les enfants migrants de Calais

  • J’ai vu à la télé un reportage sur les bénévoles qui aident les migrants qui sont installés à Calais. C’est génial tout ce qu’ils font, ils ont même ouvert une école pour les enfants !
  • C’est top qu’ils puissent apprendre, même dans ces conditions très difficiles.
  • Oui, j’ai entendu que c’est ce qu’on appelle une école d’urgence : elle est faite pour les enfants qui sont de passage dans le camp, car beaucoup ne comptent pas rester en France. Ils espèrent retrouver les gens de leur famille qui vivent en Grande-Bretagne.
  • Mais cette école, elle était déjà là avant ?
  • Non, c’est un grand bâtiment en bois qui a été construit par un réfugié qui vient du Niger avec l’aide d’autres réfugiés et des gens qui font partie d’associations humanitaires.
  • Et comment ça se passe pour les enfants ? Ils sont obligés d’y aller ?
  • Non, ils sont libres de venir ou pas. Mais beaucoup y vont, car ça les change de leur vie de tous les jours.
  • Mais qui fait l’école ?
  • Ce sont des enseignants qui sont bénévoles. Et tout le matériel de classe, comme les meubles ou les livres ont été donnés par des associations.
  • Mais j’ai entendu dire qu’une partie du camp serait peut-être détruite, alors tu crois que l’école le sera aussi ?
  • Non, heureusement, je crois que l’école ne devrait pas être touchée. Mais, le mieux, ce serait qu’on construise pour eux une école plus solide et plus confortable, car tous les enfants ont droit d’apprendre dans de bonnes conditions !

Arthur : J’ai vu à la télé un reportage sur les bénévoles qui aident les migrants qui sont installés à Calais. C’est génial tout ce qu’ils font, ils ont même ouvert une école pour les enfants !
Sarah : C’est top qu’ils puissent apprendre, même dans ces conditions très difficiles.
Arthur : Oui, j’ai entendu que c’est ce qu’on appelle une école d’urgence : elle est faite pour les enfants qui sont de passage dans le camp, car beaucoup ne comptent pas rester en France. Ils espèrent retrouver les gens de leur famille qui vivent en Grande-Bretagne.
Sarah : Mais cette école, elle était déjà là avant ?
Arthur : Non, c’est un grand bâtiment en bois qui a été construit par un réfugié qui vient du Niger avec l’aide d’autres réfugiés et des gens qui font partie d’associations humanitaires.
Sarah : Et comment ça se passe pour les enfants ? Ils sont obligés d’y aller ?
Arthur : Non, ils sont libres de venir ou pas. Mais beaucoup y vont, car ça les change de leur vie de tous les jours.
Sarah : Mais qui fait l’école ?
Arthur : Ce sont des enseignants qui sont bénévoles. Et tout le matériel de classe, comme les meubles ou les livres ont été donnés par des associations.
Sarah : Mais j’ai entendu dire qu’une partie du camp serait peut-être détruite, alors tu crois que l’école le sera aussi ?
Arthur : Non, heureusement, je crois que l’école ne devrait pas être touchée. Mais, le mieux, ce serait qu’on construise pour eux une école plus solide et plus confortable, car tous les enfants ont droit d’apprendre dans de bonnes conditions !