Contre les violences et pour l’égalité !

  • Ce matin, une dame est venue dans notre classe pour nous parler de l’égalité entre les filles et les garçons.
  • Ah, c’est super ! Et t’as appris des choses ?
  • Oui, c’était top. D’abord, on a parlé des inégalités à l’école, par exemple quand les garçons jouent au foot dans la cour, qu’ils prennent toute la place et qu’ils ne laissent pas les filles jouer.
  • T’as raison, ça, c’est pas normal.
  • Non ! On a aussi parlé de ceux qui embêtaient les filles, par exemple en soulevant leurs jupes ou en leur faisant des bisous alors qu’elles ne voulaient pas. La dame nous a expliqué qu’on n’avait pas le droit de faire ça.
  • C’est vrai. Quand ça arrive, on doit le dire au maître ou à la maitresse.
  • En tout cas moi, ça m’a fait réfléchir à plein de choses. Et elle nous a expliqué que l’égalité, ça commençait dès qu’on était enfant.
  • Comment ça ?
  • Bah, en fait il y a beaucoup d’inégalités entre les femmes et les hommes. Et si on apprend l’égalité dès notre âge, ce sera plus facile de rester toutes et tous égaux quand on sera grands.
  • T’as raison !
  • Elle a aussi parlé des violences contre les femmes. Et ça, c’était triste. En fait, il y a des hommes qui insultent ou tapent des femmes. Chaque année, il y a même des femmes qui sont tuées par leur mari…
  • C’est quoi ?
  • C’est une réunion entre les maîtresses et les parents pour discuter de ce qui va et de ce qui ne va pas à l’école. Si tu veux, tu peux écrire une lettre pour expliquer pourquoi tu ne te sens pas bien dans les toilettes.
  • Oui, je sais, j’avais vu un reportage là-dessus. C’est vraiment horrible.
  • C’est pour ça qu’il faut que les femmes puissent être aidées dès qu’elles en parlent. Il faut qu’elles puissent s’enfuir tout de suite et qu’on leur trouve une autre maison.
  • Oui. Quand il y a des violences, il faut agir tout de suite. Tu sais ce qu’on pourrait faire ? Organiser un concours d’affiches sur l’égalité entre les filles et les garçons à l’école.
  • Super idée ! Mais comment ?
  • Bah, on en parle chacun à toutes les filles, aux garçons et à nos professeurs et on demande si on peut les afficher dans le couloir.
  • Top ! J’en parle cet après-midi à ma maîtresse.

Arthur : Ce matin, une dame est venue dans notre classe pour nous parler de l’égalité entre les filles et les garçons.

Sarah : Ah, c’est super ! Et t’as appris des choses ?

Arthur : Oui, c’était top. D’abord, on a parlé des inégalités à l’école, par exemple quand les garçons jouent au foot dans la cour, qu’ils prennent toute la place et qu’ils ne laissent pas les filles jouer.

Sarah : T’as raison, ça, c’est pas normal.

Arthur : Non ! On a aussi parlé de ceux qui embêtaient les filles, par exemple en soulevant leurs jupes ou en leur faisant des bisous alors qu’elles ne voulaient pas. La dame nous a expliqué qu’on n’avait pas le droit de faire ça.

Sarah : C’est vrai. Quand ça arrive, on doit le dire au maître ou à la maitresse.

Arthur : En tout cas moi, ça m’a fait réfléchir à plein de choses. Et elle nous a expliqué que l’égalité, ça commençait dès qu’on était enfant.

Sarah : Comment ça ?

Arthur : Bah, en fait il y a beaucoup d’inégalités entre les femmes et les hommes. Et si on apprend l’égalité dès notre âge, ce sera plus facile de rester toutes et tous égaux quand on sera grands.

Sarah : T’as raison !

Arthur : Elle a aussi parlé des violences contre les femmes. Et ça, c’était triste. En fait, il y a des hommes qui insultent ou tapent des femmes. Chaque année, il y a même des femmes qui sont tuées par leur mari…

Sarah : Oui, je sais, j’avais vu un reportage là-dessus. C’est vraiment horrible.

Arthur : C’est pour ça qu’il faut que les femmes puissent être aidées dès qu’elles en parlent. Il faut qu’elles puissent s’enfuir tout de suite et qu’on leur trouve une autre maison.

Sarah : Oui. Quand il y a des violences, il faut agir tout de suite. Tu sais ce qu’on pourrait faire ? Organiser un concours d’affiches sur l’égalité entre les filles et les garçons à l’école.

Arthur : Super idée ! Mais comment ?