Fabrique ton exposition sur les droits des enfants !

  • Qu'est-ce que tu fais, Agathe ?
  • Avec ma classe, on prépare une exposition pour les trente ans de la Convention des droits de l'enfant ! On a chacun choisi un des dix droits de l’enfant. Moi, je fais mon panneau d’exposition sur le droit à l’éducation !
  • Génial, je peux t'aider ?
  • Bien sûr, prends un pinceau ! Là, en haut, on écrit « Droit à l'éducation », au milieu on fait un dessin et en bas il faut trouver un slogan. Mais j'ai pas trop d'idées !
  • Hum, qu'est-ce que tu penses de : « Si je ne peux pas aller à l'école, je ne peux pas être libre » ?
  • C'est trop bien ! C'est carrément vrai en plus : si t'apprends pas à lire, à écrire et à réfléchir, tu peux rien faire ! Moi, avant, j'avais du mal à dire ce que je pensais. Mais depuis qu'on fait des débats en classe pour discuter et partager nos idées, c'est beaucoup plus facile ! Alors quand je pense aux enfants qui n'ont pas le droit d'aller à l'école, ça me rend triste..
  • Comment ça se fait qu'ils ne vont pas à l'école ?
  • Ça dépend. Pour certains, c'est à cause de la guerre : les écoles sont fermées. Pour d'autres, c'est parce qu'ils doivent travailler pour aider leurs parents.
  • Ah ouais, ça craint. Et y'a pas que le droit à l'éducation qui n'est pas respecté. Par exemple, tu savais qu'un enfant de moins de cinq ans sur trois est mal nourri ? Ça ne respecte pas du tout leur droit d'avoir une alimentation équilibrée ! Quand je pense à tout ça, des fois je suis carrément découragée.
  • Bah, faut pas ! On peut agir !
  • Ouais, mais comment ?
  • En s'informant, déjà ! Notre expo, elle permet de parler des droits des enfants. On peut aussi en parler à nos parents ! Depuis que j'ai discuté de ça avec eux, mes parents ont décidé d'aider une fille qui habite en Inde ! Ils donnent un peu d'argent tous les mois pour qu'elle puisse aller à l'école. Et tu sais, on peut aussi agir ici. En étant sympa avec nos copains et copines, on défend leur droit à être entouré et aimé !
  • Cool ! Et si je te propose de venir faire une partie de basket avec moi, je défends ton droit de jouer ?
  • Évidemment ! On y va !

Sarah : Qu’est-ce que tu fais, Agathe ?

Agathe : Avec ma classe, on prépare une exposition pour les trente ans de la Convention des droits de l’enfant ! On a chacun choisi un des dix droits de l’enfant. Moi, je fais mon panneau d’exposition sur le droit à l’éducation !

Sarah : Génial, je peux t’aider ?

Agathe : Bien sûr, prends un pinceau ! Là, en haut, on écrit « Droit à l’éducation », au milieu on fait un dessin et en bas il faut trouver un slogan. Mais j’ai pas trop d’idées !

Sarah : Hum, qu’est-ce que tu penses de : « Si je ne peux pas aller à l’école, je ne peux pas être libre » ?

Agathe : C’est trop bien ! C’est carrément vrai en plus : si t’apprends pas à lire, à écrire et à réfléchir, tu peux rien faire ! Moi, avant, j’avais du mal à dire ce que je pensais. Mais depuis qu’on fait des débats en classe pour discuter et partager nos idées, c’est beaucoup plus facile ! Alors quand je pense aux enfants qui n’ont pas le droit d’aller à l’école, ça me rend triste..

Sarah : Comment ça se fait qu’ils ne vont pas à l’école ?

Agathe : Ça dépend. Pour certains, c’est à cause de la guerre : les écoles sont fermées. Pour d’autres, c’est parce qu’ils doivent travailler pour aider leurs parents.

Sarah : Ah ouais, ça craint. Et y’a pas que le droit à l’éducation qui n’est pas respecté. Par exemple, tu savais qu’un enfant de moins de cinq ans sur trois est mal nourri ? Ça ne respecte pas du tout leur droit d’avoir une alimentation équilibrée ! Quand je pense à tout ça, des fois je suis carrément découragée.

Agathe : Bah, faut pas ! On peut agir !

Sarah : Ouais, mais comment ?

Agathe : En s’informant, déjà ! Notre expo, elle permet de parler des droits des enfants. On peut aussi en parler à nos parents ! Depuis que j’ai discuté de ça avec eux, mes parents ont décidé d’aider une fille qui habite en Inde ! Ils donnent un peu d’argent tous les mois pour qu’elle puisse aller à l’école. Et tu sais, on peut aussi agir ici. En étant sympa avec nos copains et copines, on défend leur droit à être entouré et aimé !

Sarah : Cool ! Et si je te propose de venir faire une partie de basket avec moi, je défends ton droit de jouer ?

Agathe : Évidemment ! On y va !