Non aux violences faites aux enfants !
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Hier, j’ai regardé les infos avec Maman. Ils parlaient d’un sujet terrible…
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Ha bon ? De quoi ?
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Des violences sexuelles sur les enfants dans l’Église. Ils ont découvert que beaucoup d’enfants en avaient été victimes.
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Mais c’est horrible ? Comment ça se fait qu’un truc pareil ait pu arriver ?
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Tu sais, les personnes qui agressent les enfants leur disent souvent que c’est un secret, qu’il ne faut rien dire. Et comme en général, ce sont des adultes qui connaissent les enfants, ils leur demandent de leur faire confiance…
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…et de se taire. Je vois.
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Certaines victimes ont parlé pour la première fois lors de cette enquête. Elles gardaient le secret depuis des années, car elles avaient honte.
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C’est pas aux victimes d’avoir honte, c’est aux coupables !
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On est d’accord. Mais c’est difficile de parler. C’est aussi pour cela qu’une enquête a été faite : plus on en parle, plus les victimes oseront prendre la parole.
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Et il va se passer quoi, maintenant ?
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Les chefs de l’Église ont dit qu’ils allaient se mobiliser pour changer les choses, pour que cela n’arrive plus jamais.
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J’espère ! À la maison, à l’école, au sport ou dans les espaces religieux, on doit être protégé des violences ! Et si on est victime ou témoin, tu sais ce qu’il faut faire ?
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Oui ! Appeler le 119 et en parler à un adulte en qui on a confiance !
Sarah : Hier, j’ai regardé les infos avec Maman. Ils parlaient d’un sujet terrible…
Arthur : Ha bon ? De quoi ?
Sarah : Des violences sexuelles sur les enfants dans l’Église. Ils ont découvert que beaucoup d’enfants en avaient été victimes.
Arthur : Mais c’est horrible ? Comment ça se fait qu’un truc pareil ait pu arriver ?
Sarah : Tu sais, les personnes qui agressent les enfants leur disent souvent que c’est un secret, qu’il ne faut rien dire. Et comme en général, ce sont des adultes qui connaissent les enfants, ils leur demandent de leur faire confiance…
Arthur : …et de se taire. Je vois.
Sarah : Certaines victimes ont parlé pour la première fois lors de cette enquête. Elles gardaient le secret depuis des années, car elles avaient honte.
Arthur : C’est pas aux victimes d’avoir honte, c’est aux coupables !
Sarah : On est d’accord. Mais c’est difficile de parler. C’est aussi pour cela qu’une enquête a été faite : plus on en parle, plus les victimes oseront prendre la parole.
Arthur : Et il va se passer quoi, maintenant ?
Sarah : Les chefs de l’Église ont dit qu’ils allaient se mobiliser pour changer les choses, pour que cela n’arrive plus jamais.
Arthur : J’espère ! À la maison, à l’école, au sport ou dans les espaces religieux, on doit être protégé des violences ! Et si on est victime ou témoin, tu sais ce qu’il faut faire ?
Sarah : Oui ! Appeler le 119 et en parler à un adulte en qui on a confiance !