Et pourquoi par reporter de guerre ?

  • Toi aussi, tu voudrais être reporter de guerre comme moi ? Avec ma classe, on a rencontré Jérémie qui travaille à la télévision.
  • Oui, il est venu dans notre classe aussi, il nous a expliqué comment il est devenu reporter de guerre à 33 ans. Il est allé en fac de droit, puis en école de journalisme pendant 2 ans. Il a fait tous les métiers du journalisme : écrire les bandeaux pour la télé, écrire des piges… Moi, je ne pourrais pas devenir journaliste de guerre.
  • Pourquoi ?
  • C’est trop dangereux, ça me fait peur.
  • Mais il y a des protections, comme des gilets pare-balles et des casques.
  • Et les missiles, comment on les arrête ?
  • Je ne sais pas…
  • Un journaliste est mort en Ukraine, tu sais, même s’il avait un gilet pare-balles. Il était dans sa voiture, et un bombardement l’a percuté : il est mort ! Il y a eu des cérémonies en son hommage, des lieux portent son nom.
  • C’est triste…
  • Et toi, après ça, tu veux encore devenir reporter de guerre ?
  • Oui, c’est mon plus grand rêve… Je regarde tous les reportages de Jérémie.
  • Tu es une grande fan !
  • Il paraît qu’il a passé plus de trois mois en Ukraine !
  • Il doit être courageux ! Il n’a jamais peur ?
  • Si, il a peur tout le temps mais il garde sa peur au fond de lui.
  • Dis-moi ce qui a l’air aussi génial ?
  • Par exemple, on peut rencontrer un président d’un autre pays ! En plus, on voyage, et on passe à la télé !
  • Justement, je n’aime pas être filmé.
  • Tu n’es pas obligé ! Il a des collègues qu’on ne voit pas : un cameraman qu’on appelle un journaliste reporter d’images et un technicien pour transmettre les reportages. Il y a aussi un fixeur qui aide à comprendre la langue et la culture du pays.
  • Tu es bien renseignée…
  • C’est vrai, et j’aime l’aventure !
  • Sortir après le couvre-feu, tu trouves ça amusant ? La guerre a lieu même la nuit, comment feras-tu pour dormir et te protéger en même temps ?
  • Au moins, je peux aider des gens dans le désespoir. J’ai envie de parler des gens qui souffrent et d’informer les personnes pour qu’elles sachent ce qu’il se passe dans le monde.
  • J’ai toutes les réponses, tu ferais une bonne journaliste ! Grâce à toi, j’ai aussi envie de faire ce métier !

Sarah : Toi aussi, tu voudrais être reporter de guerre comme moi ? Avec ma classe, on a rencontré Jérémie qui travaille à la télévision.

Gary : Oui, il est venu dans notre classe aussi, il nous a expliqué comment il est devenu reporter de guerre à 33 ans. Il est allé en fac de droit, puis en école de journalisme pendant 2 ans. Il a fait tous les métiers du journalisme : écrire les bandeaux pour la télé, écrire des piges… Moi, je ne pourrais pas devenir journaliste de guerre.

Sarah : Pourquoi ?

Gary : C’est trop dangereux, ça me fait peur.

Sarah : Mais il y a des protections, comme des gilets pare-balles et des casques.

Gary : Et les missiles, comment on les arrête ?

Sarah : Je ne sais pas…

Gary : Un journaliste est mort en Ukraine, tu sais, même s’il avait un gilet pare-balles.  Il était dans sa voiture, et un bombardement l’a percuté : il est mort ! Il y a eu des cérémonies en son hommage, des lieux portent son nom.

Sarah : C’est triste…

Gary : Et toi, après ça, tu veux encore devenir reporter de guerre ?

Sarah : Oui, c’est mon plus grand rêve… Je regarde tous les reportages de Jérémie.

Gary : Tu es une grande fan !

Sarah : Il paraît qu’il a passé plus de trois mois en Ukraine !

Gary : Il doit être courageux ! Il n’a jamais peur ?

Sarah : Si, il a peur tout le temps mais il garde sa peur au fond de lui.

Gary : Dis-moi ce qui a l’air aussi génial ?

Sarah : Par exemple, on peut rencontrer un président d’un autre pays ! En plus, on voyage, et on passe à la télé !

Gary : Justement, je n’aime pas être filmé.

Sarah : Tu n’es pas obligé ! Il a des collègues qu’on ne voit pas : un cameraman qu’on appelle un journaliste reporter d’images et un technicien pour transmettre les reportages. Il y a aussi un fixeur qui aide à comprendre la langue et la culture du pays.

Gary : Tu es bien renseignée…

Sarah : C’est vrai, et j’aime l’aventure !

Gary : Sortir après le couvre-feu, tu trouves ça amusant ? La guerre a lieu même la nuit, comment feras-tu pour dormir et te protéger en même temps ?

Sarah : Au moins, je peux aider des gens dans le désespoir. J’ai envie de parler des gens qui souffrent et d’informer les personnes pour qu’elles sachent ce qu’il se passe dans le monde.

Gary : J’ai toutes les réponses, tu ferais une bonne journaliste ! Grâce à toi, j’ai aussi envie de faire ce métier !