Accueillir les réfugiés
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Mais, c’est quoi toutes ces tentes sous le pont de l’autoroute?
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Ce sont des migrants qui les ont installées, avec l’aide d’associations et de bénévoles. Je le sais parce que ma cousine fait partie d’une de ces associations !
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Mais pourquoi ils n’ont pas de maison ?
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En fait, ces gens sont des demandeurs d’asile. Ça veut dire qu’ils ont quitté leur pays pour venir se réfugier en France. Certains sont hébergés dans des endroits spéciaux comme des salles de sport ou des centres pour demandeurs d’asile. Mais le problème, c’est qu’il n’y a pas assez de places pour tout le monde dans les centres.
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Oh là là, ça craint ! Il fait super froid en plus !
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Oui, c’est pour ça que des assos les aident pour leur donner de la nourriture ou des tentes, par exemple.
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J’espère que tous ces gens vont bientôt avoir une maison à eux ! Il y a même des enfants, c’est pas normal ! Et ils viennent de quel pays au fait ?
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Il y a des personnes qui viennent de Syrie, d’Afghanistan, d’Érythrée…
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D’Afghanistan ? C’est le pays d’où vient Fatemah, une fille de ma classe ! Elle est arrivée l’année dernière avec sa famille, et même qu’elle parle déjà super bien français ! Parfois, quand elle ne connaît pas un mot, elle me demande ! Et elle m’a aussi appris des mots dans sa langue. Pour dire bonjour, on dit « Salâm ».
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Ça ne doit pas être facile pour elle de s’adapter à un nouveau pays. Heureusement, toute sa famille est là pour l’entourer !
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Oui, elle m’a dit qu’au début c’était très difficile car elle ne comprenait pas le français et, avec sa famille, ils vivaient dans un centre d’accueil pour demandeurs d’asile, avec plein d’autres personnes. Mais maintenant, ils ont un appartement juste pour eux, et ses parents ont réussi à trouver du travail !
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Je suis trop contente pour eux ! Et tu sais, pour les gens qui dorment dans des tentes, on peut faire quelque chose si tu veux.
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Oui ! Mais quoi ?
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Ma cousine, tous les samedis, elle donne des cours de français dans une association qui est juste à côté du campement. Tu veux qu’on aille lui donner un coup de main ce week-end ?
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Ce serait top ! Je demande à mes parents ce soir !
P’tite Marianne : Mais, c’est quoi toutes ces tentes sous le pont de l’autoroute?
Agathe : Ce sont des migrants qui les ont installées, avec l’aide d’associations et de bénévoles. Je le sais parce que ma cousine fait partie d’une de ces associations !
P’tite Marianne : Mais pourquoi ils n’ont pas de maison ?
Agathe : En fait, ces gens sont des demandeurs d’asile. Ça veut dire qu’ils ont quitté leur pays pour venir se réfugier en France. Certains sont hébergés dans des endroits spéciaux comme des salles de sport ou des centres pour demandeurs d’asile. Mais le problème, c’est qu’il n’y a pas assez de places pour tout le monde dans les centres.
P’tite Marianne : Oh là là, ça craint ! Il fait super froid en plus !
Agathe : Oui, c’est pour ça que des assos les aident pour leur donner de la nourriture ou des tentes, par exemple.
P’tite Marianne : J’espère que tous ces gens vont bientôt avoir une maison à eux ! Il y a même des enfants, c’est pas normal ! Et ils viennent de quel pays au fait ?
Agathe : Il y a des personnes qui viennent de Syrie, d’Afghanistan, d’Érythrée…
P’tite Marianne : D’Afghanistan ? C’est le pays d’où vient Fatemah, une fille de ma classe ! Elle est arrivée l’année dernière avec sa famille, et même qu’elle parle déjà super bien français ! Parfois, quand elle ne connaît pas un mot, elle me demande ! Et elle m’a aussi appris des mots dans sa langue. Pour dire bonjour, on dit « Salâm ».
Agathe : Ça ne doit pas être facile pour elle de s’adapter à un nouveau pays. Heureusement, toute sa famille est là pour l’entourer !
P’tite Marianne : Oui, elle m’a dit qu’au début c’était très difficile car elle ne comprenait pas le français et, avec sa famille, ils vivaient dans un centre d’accueil pour demandeurs d’asile, avec plein d’autres personnes. Mais maintenant, ils ont un appartement juste pour eux, et ses parents ont réussi à trouver du travail !
Agathe : Je suis trop contente pour eux ! Et tu sais, pour les gens qui dorment dans des tentes, on peut faire quelque chose si tu veux.
P’tite Marianne : Oui ! Mais quoi ?
Agathe : Ma cousine, tous les samedis, elle donne des cours de français dans une association qui est juste à côté du campement. Tu veux qu’on aille lui donner un coup de main ce week-end ?
P’tite Marianne : Ce serait top ! Je demande à mes parents ce soir !