Contre le harcèlement, on agit immédiatement !
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Ça va Gary ? T’as l’air un peu triste.
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Oui, il s’est passé quelque chose de grave cet après-midi à la récréation.
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Comment ça ?
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En fait, deux garçons de ma classe ont embêté un autre garçon. Ils l’ont pris par le col de son manteau pour l’emmener près du panneau de basket de force. Et après, devant tout le monde, ils lui ont dit que s’il ne leur donnait pas son goûter, ils allaient le frapper. Alors il l’a donné.
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Quoi ? Mais c’est pas normal.
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Ben non, et ça fait plusieurs jours que ça dure. Après Mathéo, celui qui s’est fait embêter, il était triste et il pleurait en cachette.
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Il faut faire quelque chose !
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Bah je lui ai dit d’aller en parler à la maîtresse mais il n’a pas voulu. Et moi je peux rien faire. Je vais pas le dire à sa place car j’ai pas envie de me faire embêter par les autres s’ils découvrent que c’est moi qui l’ait dit.
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Je sais que c’est pas facile mais on ne peut pas rester sans rien faire. Il faut absolument en parler à la maîtresse. Je viens avec toi si tu veux.
-
D’accord, si tu m’accompagnes ce sera peut-être plus facile.
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Tu sais, quand on voit que quelqu’un est harcelé ou que quelqu’un nous embête, on peut aussi appeler un numéro spécial : c’est le 3020. C’est ma cousine qui m’en a parlé.
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Celle qui est au collège ?
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Oui ! Dans son collège, une dame est venue leur expliquer ce qu’était le harcèlement et leur parler de ce numéro. Ils ont aussi fait une vidéo pour montrer que ça pouvait faire très mal aux victimes. Je l’ai sur l’ordinateur à la maison, je te la montrerai si tu veux.
-
Je veux bien. Bon, on va voir la maîtresse ? Ça me rend triste de laisser Mathéo tout seul dans cette situation. Et ensuite, ou pourrait allez le voir et lui proposer de jouer avec lui.
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Je te suis, on y va.
Sarah : Ça va Gary ? T’as l’air un peu triste.
Gary : Oui, il s’est passé quelque chose de grave cet après-midi à la récréation.
Sarah : Comment ça ?
Gary : En fait, deux garçons de ma classe ont embêté un autre garçon. Ils l’ont pris par le col de son manteau pour l’emmener près du panneau de basket de force. Et après, devant tout le monde, ils lui ont dit que s’il ne leur donnait pas son goûter, ils allaient le frapper. Alors il l’a donné.
Sarah : Quoi ? Mais c’est pas normal.
Gary : Ben non, et ça fait plusieurs jours que ça dure. Après Mathéo, celui qui s’est fait embêter, il était triste et il pleurait en cachette.
Sarah : Il faut faire quelque chose !
Gary : Bah je lui ai dit d’aller en parler à la maîtresse mais il n’a pas voulu. Et moi je peux rien faire. Je vais pas le dire à sa place car j’ai pas envie de me faire embêter par les autres s’ils découvrent que c’est moi qui l’ait dit.
Sarah : Je sais que c’est pas facile mais on ne peut pas rester sans rien faire. Il faut absolument en parler à la maîtresse. Je viens avec toi si tu veux.
Gary : D’accord, si tu m’accompagnes ce sera peut-être plus facile.
Sarah : Tu sais, quand on voit que quelqu’un est harcelé ou que quelqu’un nous embête, on peut aussi appeler un numéro spécial : c’est le 3020. C’est ma cousine qui m’en a parlé.
Gary : Celle qui est au collège ?
Sarah : Oui ! Dans son collège, une dame est venue leur expliquer ce qu’était le harcèlement et leur parler de ce numéro. Ils ont aussi fait une vidéo pour montrer que ça pouvait faire très mal aux victimes. Je l’ai sur l’ordinateur à la maison, je te la montrerai si tu veux.
Gary : Je veux bien. Bon, on va voir la maîtresse ? Ça me rend triste de laisser Mathéo tout seul dans cette situation. Et ensuite, ou pourrait allez le voir et lui proposer de jouer avec lui.
Sarah : Je te suis, on y va.