Le destin des clandestins

  • Dans ma classe, j’ai une copine qui est réfugiée politique : elle a obtenu le droit de s’installer en France parce qu’elle et sa famille étaient en danger dans leur pays.
  • Pourquoi ils étaient en danger ?
  • Son père n’était pas d’accord avec la politique de son pays et il a reçu des menaces parce qu’il défendait ses idées.
  • Ça doit être dur de devoir quitter son pays comme ça…
  • C’est clair ! Mais ma copine et sa famille ont quand même eu la chance d’être accueillis comme réfugiés politiques ; des milliers de personnes quittent leur pays pour avoir une vie meilleure mais ils n’ont pas les papiers qui les autorisent à voyager. C’est ce qu’on appelle des clandestins : ils sont obligés de traverser en cachette.
  • Et comment ils font ?
  • Ils payent des passeurs, des trafiquants d’êtres humains qui leur font passer les frontières en secret dans des conditions super dangereuses…
  • Les pauvres ! Mais ceux qui viennent en Europe, ils n’ont pas de problèmes en arrivant ?
  • Beaucoup sont repêchés et envoyés dans des centres pour tous les gens qui ont quitté leur pays comme eux. Certains reçoivent de l’aide pour s’intégrer dans le pays qui les accueille, comme les réfugiés politiques ; d’autres sont obligés de repartir d’où ils viennent…
  • Ça doit être horrible pour eux : ils ont risqué leur vie, tout ça pour se retrouver à la case départ…
  • C’est clair ! Mais ça ne les décourage pas forcément, certains refont la traversée dès qu’ils en ont l’occasion…
  • C’est qu’ils ont drôlement envie de vivre ailleurs… Moi, je trouve qu’il faudrait tout faire pour leur donner les chances d’y arriver.
  • Je suis d’accord avec toi et c’est pour ça que plus tard, j’aimerais bien travailler pour une association qui aide toutes ces personnes.

Sarah : Dans ma classe, j’ai une copine qui est réfugiée politique : elle a obtenu le droit de s’installer en France parce qu’elle et sa famille étaient en danger dans leur pays.
P’tite Marianne : Pourquoi ils étaient en danger ?
Sarah : Son père n’était pas d’accord avec la politique de son pays et il a reçu des menaces parce qu’il défendait ses idées.
P’tite Marianne : Ça doit être dur de devoir quitter son pays comme ça…
Sarah : C’est clair ! Mais ma copine et sa famille ont quand même eu la chance d’être accueillis comme réfugiés politiques ; des milliers de personnes quittent leur pays pour avoir une vie meilleure mais ils n’ont pas les papiers qui les autorisent à voyager. C’est ce qu’on appelle des clandestins : ils sont obligés de traverser en cachette.
P’tite Mariannee : Et comment ils font ?
Sarah : Ils payent des passeurs, des trafiquants d’êtres humains qui leur font passer les frontières en secret dans des conditions super dangereuses…
P’tite Mariannee : Les pauvres ! Mais ceux qui viennent en Europe, ils n’ont pas de problèmes en arrivant ?
Sarah : Beaucoup sont repêchés et envoyés dans des centres pour tous les gens qui ont quitté leur pays comme eux. Certains reçoivent de l’aide pour s’intégrer dans le pays qui les accueille, comme les réfugiés politiques ; d’autres sont obligés de repartir d’où ils viennent…
P’tite Marianne : Ça doit être horrible pour eux : ils ont risqué leur vie, tout ça pour se retrouver à la case départ…
Sarah : C’est clair ! Mais ça ne les décourage pas forcément, certains refont la traversée dès qu’ils en ont l’occasion…
P’tite Marianne : C’est qu’ils ont drôlement envie de vivre ailleurs… Moi, je trouve qu’il faudrait tout faire pour leur donner les chances d’y arriver.
Sarah : Je suis d’accord avec toi et c’est pour ça que plus tard, j’aimerais bien travailler pour une association qui aide toutes ces personnes.