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L’esprit de Résistance

  • Waouh ! C’est quoi ce que tu as en main ? Des médailles ?
  • Oui, j’ai amené les médailles de mon arrière-grand-mère, Jeanne parce qu’on prépare une exposition sur la 2nde Guerre mondiale avec la maîtresse.
  • Ton arrière-grand-mère ? Mais c’était une femme, elle a pas pu être soldat !
  • C’est vrai. Mais elle a quand même combattu les Allemands.
  • Sérieux ? Comment elle a fait ?
  • Tu sais la guerre a commencé en 1939 mais dès 1940 les Allemands ont envahi le pays et le gouvernement français a signé l’armistice.
  • L’armisti…quoi ?!
  • L’armistice. Ça veut dire que la France reconnaissait avoir perdu la guerre. Les Allemands ont alors pris le contrôle d’une bonne partie de la France et ils ont commencé à imposer leurs Lois.
  • Oui, j’ai vu dans un film que les Nazis étaient hyper violents et sans aucune pitié !
  • Carrément. Et mon arrière-grand-mère n’était pas d’accord avec ce qui se passait. Un jour un ami lui a demandé si elle voulait bien l’accompagner à vélo pour faire passer des messages à des gens avaient décidé de résister contre les Nazis. Cet ami pensait que les Nazis se méfieraient moins s’ils faisaient semblant d’être deux amoureux qui se promènent à vélo.
  • Ah oui, j’ai vu un film où on parlait de ces Français qui se battaient contre les Allemands. C’était des Résistants ! Alors, ton arrière-grand-mère était une Résistante ?
  • Oui. Au début elle a juste fait passer des messages et ensuite elle a aidé davantage. Avec les autres Résistants, ils espionnaient les Allemands et ils donnaient des informations aux Anglais. Ils ont aussi détruit des voies de chemin de fer pour que les trains avec les armes allemandes ne puissent plus circuler.
  • Waouh, comment tu dois être trop fier d’elle !
  • Ouais, c’est trop un exemple ! Grâce à elle, on sait qu’on peut agir quand quelque chose nous choque ou n’est pas acceptable.

Agathe : Waouh ! C’est quoi ce que tu as en main ? Des médailles ?

Arthur : Oui, j’ai amené les médailles de mon arrière-grand-mère, Jeanne parce qu’on prépare une exposition sur la 2nde Guerre mondiale avec la maîtresse.

Agathe : Ton arrière-grand-mère ? Mais c’était une femme, elle a pas pu être soldat !

Arthur : C’est vrai. Mais elle a quand même combattu les Allemands.

Agathe : Sérieux ? Comment elle a fait ?

Arthur : Tu sais la guerre a commencé en 1939 mais dès 1940 les Allemands ont envahi le pays et le gouvernement Français a signé l’armistice.

Agathe : L’armisti…quoi ?!

Arthur : L’armistice. Ça veut dire que la France reconnaissait avoir perdu la guerre. Les Allemands ont alors pris le contrôle d’une bonne partie de la France et ils ont commencé à imposer leurs Lois.

Agathe : Oui, j’ai vu dans un film que les Nazis étaient hyper violents et sans aucune pitié !

Arthur : Carrément. Et mon arrière-grand-mère n’était pas d’accord avec ce qui se passait. Un jour un ami lui a demandé si elle voulait bien l’accompagner à vélo pour faire passer des messages à des gens avaient décidé de résister contre les Nazis. Cet ami pensait que les Nazis se méfieraient moins s’ils faisaient semblant d’être deux amoureux qui se promènent à vélo.

Agathe : Ah oui, j’ai vu un film où on parlait de ces Français qui se battaient contre les Allemands. C’était des Résistants ! Alors, ton arrière-grand-mère était une Résistante ?

Arthur : Oui. Au début elle a juste fait passer des messages et ensuite elle a aidé davantage. Avec les autres Résistants, ils espionnaient les Allemands et ils donnaient des informations aux Anglais. Ils ont aussi détruit des voies de chemin de fer pour que les trains avec les armes allemandes ne puissent plus circuler.

Agathe : Waouh, comment tu dois être trop fier d’elle !

Arthur : Ouais, c’est trop un exemple ! Grâce à elle, on sait qu’on peut agir quand quelque chose nous choque ou n’est pas acceptable.

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