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Où peut mener un mensonge…

  • T’as regardé les infos ? En fait, elle avait menti, la fille !
  • Attends, je te suis pas, Sarah. De quelle fille tu parles ?
  • Tu te souviens, il y a un prof qui a été tué l’année dernière.
  • Oui, je me souviens bien. On avait même fait une minute de silence. C’est horrible ce qui est arrivé…
  • Oui, c’est vraiment horrible. Un prof tué par un terroriste ! Et tu te rappelles ce qui s’est passé ? C’était parce que le prof avait montré des caricatures du journal Charlie Hebdo en classe. Et bin en fait, la fille qui avait raconté tout ça à son père n’était même pas en classe ce jour-là !
  • Quoi ? Mais pourquoi elle a raconté ça alors ?
  • Elle avait entendu d’autres élèves le raconter et elle avait décidé de faire comme si elle y était. On sait pas trop pourquoi. Son avocat dit que certains élèves lui ont demandé d’être une sorte de « porte-parole ».
  • Pffff, ça craint ! Quand tu vois comment ça s’est terminé ! C’est trop triste.
  • Ouais… J’ai entendu aussi qu’elle n’avait pas imaginé les conséquences. Mais son père est intervenu et a diffusé l’information sur les réseaux sociaux. Comme quoi, il faut faire attention et ne pas raconter n’importe quoi sur les réseaux sociaux…
  • T’as raison ! Moi, cette histoire, ça me donne envie de défendre la liberté d’expression et surtout nos professeurs ! C’est quand même grâce à eux si on apprend plein de trucs tous les jours !
  • Grave ! Ça te dit qu’on fasse un dessin à la maîtresse sur la liberté d’expression, pour lui montrer qu’on la trouve géniale ?
  • Ouais, bonne idée ! Je vais faire des recherches sur Internet : au moment de l’attentat contre les journalistes de Charlie Hebdo, des dessinateurs du monde entier avaient fait des dessins pour leur rendre hommage et pour la liberté d’expression!
  • Bonne idée, ça va nous inspirer !

Sarah : T’as regardé les infos ? En fait, elle avait menti, la fille !

Agathe : Attends, je te suis pas, Sarah. De quelle fille tu parles ?

Sarah : Tu te souviens, il y a un prof qui a été tué l’année dernière.

Agathe : Oui, je me souviens bien. On avait même fait une minute de silence. C’est horrible ce qui est arrivé…

Sarah : Oui, c’est vraiment horrible. Un prof tué par un terroriste ! Et tu te rappelles ce qui s’est passé ? C’était parce que le prof avait montré des caricatures du journal Charlie Hebdo en classe. Et bin en fait, la fille qui avait raconté tout ça à son père n’était même pas en classe ce jour-là !

Agathe : Quoi ? Mais pourquoi elle a raconté ça alors ?

Sarah : Elle avait entendu d’autres élèves le raconter et elle avait décidé de faire comme si elle y était. On sait pas trop pourquoi. Son avocat dit que certains élèves lui ont demandé d’être une sorte de « porte-parole ».

Agathe : Pffff, ça craint ! Quand tu vois comment ça s’est terminé ! C’est trop triste.

Sarah : Ouais… J’ai entendu aussi qu’elle n’avait pas imaginé les conséquences. Mais son père est intervenu et a diffusé l’information sur les réseaux sociaux. Comme quoi, il faut faire attention et ne pas raconter n’importe quoi sur les réseaux sociaux…

Agathe : T’as raison ! Moi, cette histoire, ça me donne envie de défendre la liberté d’expression et surtout nos professeurs ! C’est quand même grâce à eux si on apprend plein de trucs tous les jours !

Sarah : Grave ! Ça te dit qu’on fasse un dessin à la maîtresse sur la liberté d’expression, pour lui montrer qu’on la trouve géniale ?

Agathe : Ouais, bonne idée ! Je vais faire des recherches sur Internet : au moment de l’attentat contre les journalistes de Charlie Hebdo, des dessinateurs du monde entier avaient fait des dessins pour leur rendre hommage et pour la liberté d’expression!

Sarah : Bonne idée, ça va nous inspirer !

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