Non à l’esclavage !
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Tu fais quoi, Sarah ?
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Je lis un livre sur l’histoire de l’esclavage. C’est fou : il y a à peine 200 ans, des enfants de notre âge n’étaient pas libres. Ils appartenaient à un maître et ils étaient obligés de travailler pour lui.
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C’est vrai ? Ils n’avaient pas le droit de jouer ni d’aller à l’école ?
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Non, c’était leur maître qui décidait de tout pour eux, et même pas leurs parents.
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C’est fou. Mais comment ça se fait qu’ils se sont retrouvés dans cette situation ?
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À cette époque, de nombreux Européens partaient pour vivre dans les colonies, des territoires hors de l’Europe : ils s’installaient et travaillaient en décidant que tout leur appartenait. Aux États-Unis, par exemple, il y avait beaucoup de colonies parce qu’il était facile de trouver des grands champs où faire pousser des produits très demandés comme le sucre, le café, le tabac ou le coton.
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Je vois, et ils avaient besoin de beaucoup de monde pour travailler dans ces champs.
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Exactement. Alors tout un système s’est organisé. Regarde sur cette carte, tu comprendras : les bateaux partaient d’Europe et allaient chercher des hommes et des femmes en Afrique. Après, en menaçant de les tuer s’ils refusaient, on les emmenait en Amérique. Là, les bateaux déposaient les esclaves et chargeaient des marchandises pour retourner en Europe.
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Ah oui, ça fait comme un triangle, leur trajet.
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T’as raison, et c’est même comme ça qu’on l’appelle : le commerce triangulaire.
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Ça devait être dur, d’être esclave… C’est horrible qu’ils aient vécu ça.
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Oui, c’était très dur. Ils travaillaient énormément, vivaient dans de très mauvaises conditions et pouvaient se faire frapper par les maîtres. Heureusement, de nombreux esclaves et d’autres personnes ont lutté pour abolir l’esclavage.
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Et pour que tout le monde soit libre.
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Exactement. Alors, la moindre des choses, c’est de ne pas les oublier et de leur rendre hommage !
Gary : Tu fais quoi, Sarah ?
Sarah : Je lis un livre sur l’histoire de l’esclavage. C’est fou : il y a à peine 200 ans, des enfants de notre âge n’étaient pas libres. Ils appartenaient à un maître et ils étaient obligés de travailler pour lui.
Gary : C’est vrai ? Ils n’avaient pas le droit de jouer ni d’aller à l’école ?
Sarah : Non, c’était leur maître qui décidait de tout pour eux, et même pas leurs parents.
Gary : C’est fou. Mais comment ça se fait qu’ils se sont retrouvés dans cette situation ?
Sarah : À cette époque, de nombreux Européens partaient pour vivre dans les colonies, des territoires hors de l’Europe : ils s’installaient et travaillaient en décidant que tout leur appartenait. Aux États-Unis, par exemple, il y avait beaucoup de colonies parce qu’il était facile de trouver des grands champs où faire pousser des produits très demandés comme le sucre, le café, le tabac ou le coton.
Gary : Je vois, et ils avaient besoin de beaucoup de monde pour travailler dans ces champs.
Sarah : Exactement. Alors tout un système s’est organisé. Regarde sur cette carte, tu comprendras : les bateaux partaient d’Europe et allaient chercher des hommes et des femmes en Afrique. Après, en menaçant de les tuer s’ils refusaient, on les emmenait en Amérique. Là, les bateaux déposaient les esclaves et chargeaient des marchandises pour retourner en Europe.
Gary : Ah oui, ça fait comme un triangle, leur trajet.
Sarah : T’as raison, et c’est même comme ça qu’on l’appelle : le commerce triangulaire.
Gary : Ça devait être dur, d’être esclave… C’est horrible qu’ils aient vécu ça.
Sarah : Oui, c’était très dur. Ils travaillaient énormément, vivaient dans de très mauvaises conditions et pouvaient se faire frapper par les maîtres. Heureusement, de nombreux esclaves et d’autres personnes ont lutté pour abolir l’esclavage.
Gary : Et pour que tout le monde soit libre.
Sarah : Exactement. Alors, la moindre des choses, c’est de ne pas les oublier et de leur rendre hommage !