Solidaires, cette nuit et toutes les autres !

  • Tu sais que Tata vient dîner chez nous ce soir ? Elle va pouvoir nous raconter sa Nuit de la solidarité !
  • Trop cool ! Mais c’est quoi ce truc de la Nuit de la solidarité ?
  • Tu sais, elle est bénévole à la Croix-Rouge, une association qui aide les personnes qui vivent dans la rue.
  • Ah oui c’est vrai, elle m’en a déjà parlé ! Elle fait même des maroses !
  • Euh… des maraudes, tu veux dire ?
  • Ah oui c’est ça ! J’oublie toujours le nom ! C’est quand tu sors dans la rue pour distribuer de la nourriture, des boissons ou des affaires de toilette aux personnes qui en ont besoin.
  • C’est ça ! Mais le 20 janvier, elle a fait une maraude un peu spéciale.
  • Ah bon ? Comment ça ?
  • En fait, c’était la Nuit de la solidarité. Dans plein de villes en France, des bénévoles comme Tata ont fait des maraudes. Ils étaient plus de 2000 à Paris !
  • Mais pourquoi autant de gens ?
  • Bah, le but c’est de pouvoir rencontrer toutes les personnes qui vivent dans la rue. Comme ça, on peut savoir exactement combien elles sont et ce dont elles ont besoin.
  • J’ai compris ! C’est courageux quand même de la part de Tata, moi je trouve ça trop triste de voir des gens qui n’ont pas de maison. Surtout qu’en hiver, il fait trop froid…
  • Justement, c’est grâce à la Nuit de la solidarité qu’on peut parler de ces personnes et chercher des solutions pour qu’elles puissent avoir un logement à elles.

Arthur : Tu sais que Tata vient dîner chez nous ce soir ? Elle va pouvoir nous raconter sa Nuit de la solidarité !

P’tite Marianne : Trop cool ! Mais c’est quoi ce truc de la Nuit de la solidarité ?

Arthur : Tu sais, elle est bénévole à la Croix-Rouge, une association qui aide les personnes qui vivent dans la rue.

P’tite Marianne : Ah oui c’est vrai, elle m’en a déjà parlé ! Elle fait même des maroses !

Arthur : Euh… des maraudes, tu veux dire ?

P’tite Marianne : Ah oui c’est ça ! J’oublie toujours le nom ! C’est quand tu sors dans la rue pour distribuer de la nourriture, des boissons ou des affaires de toilette aux personnes qui en ont besoin.

Arthur : C’est ça ! Mais le 20 janvier, elle a fait une maraude un peu spéciale.

P’tite Marianne : Ah bon ? Comment ça ?

Arthur : En fait, c’était la Nuit de la solidarité. Dans plein de villes en France, des bénévoles comme Tata ont fait des maraudes. Ils étaient plus de 2000 à Paris !

P’tite Marianne : Mais pourquoi autant de gens ?

Arthur : Bah, le but c’est de pouvoir rencontrer toutes les personnes qui vivent dans la rue. Comme ça, on peut savoir exactement combien elles sont et ce dont elles ont besoin.

P’tite Marianne : J’ai compris ! C’est courageux quand même de la part de Tata, moi je trouve ça trop triste de voir des gens qui n’ont pas de maison. Surtout qu’en hiver, il fait trop froid…

Arthur : Justement, c’est grâce à la Nuit de la solidarité qu’on peut parler de ces personnes et chercher des solutions pour qu’elles puissent avoir un logement à elles.