Éducation sexuelle, pas touche à mon corps !
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Tu vas pas en classe Arthur ? Ça a déjà sonné ! Tu as contrôle de maths ?
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Non mais, la maîtresse nous a dit qu’on allait faire de l’éducation sexuelle. Ma tante en a parlé l’autre jour avec ma mère et lui a dit que sur Internet elle avait vu qu’on allait nous apprendre des trucs dégoûtants.
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N’importe quoi !
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C’est ce qu’a dit ma mère. La maîtresse aussi nous a dit que c’était des fake news, des bêtises qui se racontaient sur Internet.
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Moi j’ai déjà eu les séances d’éducation sexuelle et j’ai trouvé ça très intéressant.
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Sérieux ?
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Oui parce qu’on a parlé de plein de choses de la vie qui peuvent arriver n’importe quand ou, même, de choses plus graves. C’était hyper utile.
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Ah bon ?
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On a discuté ensemble du respect. Par exemple, Lucie a parlé du garçon qui soulevait tout le temps sa jupe dans la cour et que c’était franchement pas drôle. Elle commençait à se dire qu’il valait mieux qu’elle ne mette plus que des pantalons. On lui a dit que c’était au garçon d’arrêter de l’embêter.
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Ou alors, fallait forcer le garçon à mettre une jupe pour qu’il se rende compte qu’il était lourd !
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Ça aurait été une bonne blague. On a tous le droit de porter ce qu’on veut, filles comme garçons. Finalement on lui a expliqué et il a arrêté.
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Et quoi d’autre ?
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On a aussi parlé de notre corps et que personne n’a le droit d’en toucher certaines parties.
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C’est que ma mère a dit à ma tante. Quand elles étaient petites, un monsieur a voulu leur montrer son zizi sur la plage et elles n’ont pas osé le dire à leurs parents parce qu’elles savaient même pas que ça pouvait arriver.
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Exact ! Tu sais, la maîtresse n’est pas là pour nous raconter n’importer quoi.
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OK. Je me dépêche alors ! C’est quand même plus cool qu’une interro de maths !
Gary : Tu vas pas en classe Arthur ? Ça a déjà sonné ! Tu as contrôle de maths ?
Arthur : Non mais, la maîtresse nous a dit qu’on allait faire de l’éducation sexuelle. Ma tante en a parlé l’autre jour avec ma mère et lui a dit que sur Internet elle avait vu qu’on allait nous apprendre des trucs dégoûtants.
Gary : N’importe quoi !
Arthur: C’est ce qu’a dit ma mère. La maîtresse aussi nous a dit que c’était des fake news, des bêtises qui se racontaient sur Internet.
Gary : Moi j’ai déjà eu les séances d’éducation sexuelle et j’ai trouvé ça très intéressant.
Arthur : Sérieux ?
Gary : Oui parce qu’on a parlé de plein de choses de la vie qui peuvent arriver n’importe quand ou, même, de choses plus graves. C’était hyper utile.
Arthur : Ah bon ?
Gary : On a discuté ensemble du respect. Par exemple, Lucie a parlé du garçon qui soulevait tout le temps sa jupe dans la cour et que c’était franchement pas drôle. Elle commençait à se dire qu’il valait mieux qu’elle ne mette plus que des pantalons. On lui a dit que c’était au garçon d’arrêter de l’embêter.
Arthur : Ou alors, fallait forcer le garçon à mettre une jupe pour qu’il se rende compte qu’il était lourd !
Gary : Ça aurait été une bonne blague. On a tous le droit de porter ce qu’on veut, filles comme garçons. Finalement on lui a expliqué et il a arrêté.
Arthur : Et quoi d’autre ?
Gary : On a aussi parlé de notre corps et que personne n’a le droit d’en toucher certaines parties.
Arthur : C’est que ma mère a dit à ma tante. Quand elles étaient petites, un monsieur a voulu leur montrer son zizi sur la plage et elles n’ont pas osé le dire à leurs parents parce qu’elles savaient même pas que ça pouvait arriver.
Gary: Exact ! Tu sais, la maîtresse n’est pas là pour nous raconter n’importer quoi.
Arthur : OK. Je me dépêche alors ! C’est quand même plus cool qu’une interro de maths !