Accueillir les personnes en danger
-
C‘est trop chouette, on a accueilli une nouvelle copine dans ma classe.
-
Ah oui ? Elle s’appelle comment ?
-
Natalia. Elle est Ukrainienne et elle est venue en France avec ses parents et ses deux petits frères. Ils ont fui leur pays à cause de la guerre.
-
C’est triste.
-
Oui, c’est très dur. Natalia nous a expliqué qu’elle avait dû laisser sa maison et prendre seulement un petit sac avec ses affaires. Elle ne sait pas si elle pourra revenir chez elle un jour.
-
Mais elle habite où alors maintenant ?
-
Au départ, c’est une famille de notre ville qui les a hébergés. Mais maintenant, ils ont un logement à eux.
-
Ouf ! Et ils vont pouvoir rester en France jusqu’à la fin de la guerre ?
-
Oui, ils sont réfugiés. Ça veut dire que la France les a autorisés à rester parce qu’ils étaient en danger dans leur pays.
-
Heureusement que c’est possible sinon ils auraient dû rester dans leur pays en guerre.
-
Les pays sont obligés d’accueillir les personnes en danger. Et c’est normal ! Imagine, si demain c’était la guerre chez nous, on serait heureux de pouvoir être accueillis dans un autre pays.
-
T’as raison. Mais c’est pas trop dur pour eux, d’aller à l’école avec nous ? Parce qu’ils ne parlent pas français, si ?
-
Au début, Natalia ne parlait pas du tout français. Mais elle a eu des cours avec d’autres enfants qui ne parlaient pas notre langue. Et elle est trop forte, elle a appris super vite ! Maintenant, c’est même elle qui fait la traduction pour sa maman.
-
Et on peut faire un truc pour l’aider ?
-
Nous, on lui a fait un petit cahier de vocabulaire et on lui apprend de nouveaux jeux qu’elle ne connaissait pas. Mais demande-lui, peut-être qu’elle aura besoin d’aide pour quelque chose !
Arthur : C‘est trop chouette, on a accueilli une nouvelle copine dans ma classe.
P’tite Marianne : Ah oui ? Elle s’appelle comment ?
Arthur : Natalia. Elle est Ukrainienne et elle est venue en France avec ses parents et ses deux petits frères. Ils ont fui leur pays à cause de la guerre.
P’tite Marianne : C’est triste.
Arthur : Oui, c’est très dur. Natalia nous a expliqué qu’elle avait dû laisser sa maison et prendre seulement un petit sac avec ses affaires. Elle ne sait pas si elle pourra revenir chez elle un jour.
P’tite Marianne : Mais elle habite où alors maintenant ?
Arthur : Au départ, c’est une famille de notre ville qui les a hébergés. Mais maintenant, ils ont un logement à eux.
P’tite Marianne : Ouf ! Et ils vont pouvoir rester en France jusqu’à la fin de la guerre ?
Arthur : Oui, ils sont réfugiés. Ça veut dire que la France les a autorisés à rester parce qu’ils étaient en danger dans leur pays.
Arthur : Les pays sont obligés d’accueillir les personnes en danger. Et c’est normal ! Imagine, si demain c’était la guerre chez nous, on serait heureux de pouvoir être accueillis dans un autre pays.
P’tite Marianne : T’as raison. Mais c’est pas trop dur pour eux, d’aller à l’école avec nous ? Parce qu’ils ne parlent pas français, si ?
Arthur : Au début, Natalia ne parlait pas du tout français. Mais elle a eu des cours avec d’autres enfants qui ne parlaient pas notre langue. Et elle est trop forte, elle a appris super vite ! Maintenant, c’est même elle qui fait la traduction pour sa maman.
P’tite Marianne : Et on peut faire un truc pour l’aider ?
Arthur : Nous, on lui a fait un petit cahier de vocabulaire et on lui apprend de nouveaux jeux qu’elle ne connaissait pas. Mais demande-lui, peut-être qu’elle aura besoin d’aide pour quelque chose !